Épisode 109 (35) : Another One Bites the Dust - Partie 1

Pris par la panique, Kira Yoshikage a tué Kawajiri Hayato. Yoshihige vient alors le trouver et l'informe que Kishibe Rohan a fait le rapprochement entre la photo de Hayato Kawajiri en train d'épier quelqu'un, que Rohan pu identifier comme son père en croisant les informations avec ses autres photographies. Il prévoit d'ailleurs de rencontrer le lendemain Hayato sur le chemin de l'école. Yoshikage, acculé, se met à stresser mais l'idée de fuir et devenir un fugitif le révulse. Soudain, la flèche que Yoshishige gardait avec lui vient de figer d'elle-même dans le bras de Yoshikage et remonter jusqu'à son cou.
Retour au matin. Hayato se demande comment il va faire pour trouver de l'aide à arrêter l'homme qui se fait passer pour son père. Pendant le petit-déjeuner, sa mère casse par mégarde une tasse en porcelaine à laquelle elle tenait. Il voit également Yoshikage, particulièrement heureux. Ce dernier l'accompagne sur le chemin de l'école. Hayato lui demande s'il va le tuer pour avoir découvert son secret mais Yoshikage répond qu'il est devenu désormais invincible.
Quand ils se séparent, Hayato croise Rohan qui le questionne à propos de la photo de lui en train d'espionner son père. Hayato veut fuir mais Rohan le change en livre pour lire son histoire. Après un étrange avertissement défendant de lire la suite. Rohan lit quand même et y découvre quelques presciences de l'avenir proche, puis la révélation que que Kosaku est un tueur. Rohan sait désormais que Yoshikage a pris la place de Kosaku Kawajiri. C'est alors que s'active la bombe n°3 de Killer Queen, Bites the Dust, qui fait exploser quiconque découvre le secret de Kosaku par l'intermédiaire de Hayato. Killer queen fait exploser et disparaître Rohan avant l'arrivée de Higashikata Jôsuke et des autres à qui il avait donné rendez-vous.
Soudain, Hayato se retrouve à nouveau le matin après son lever. Yoshikage révèle à Hayato qu'il a acquis un nouveau pouvoir, il a placé un déclencheur de bombe en lui, qui s'active sur ceux qui l'interrogent sur lui quel que soit le moyen et fait ensuite remonter le temps d'une heure.