Épisode 2

Iwasaki a souvent un pressentiment pour de mauvaises choses. En prenant un café, il feuillette un magazine de mode et voit un page avec un top model âgé au regard effrayant. Cette vision commence à le hanter. Plus tard avec des amis à la fac, ils prévoient de faire un film amateur. Ils envisagent de donner le rôle à Mori Tamae, en seconde année mais ils reçoivent aussi la photo du mannequin effrayant.
Iwasaki la rencontre avec Oda, mais le mannequin de pointe, se présentant sous le nom de Fuchi. Ils acceptent de lui donner un rôle aussi.
Avec leurs camarades, ils se rendent à la montagne pour le tournage. Pendant que les autres tournent des scènes avec Tamae, Iwasaki se fait poursuivre par Fuchi. Il lui échappe mais a de plus en plus d'appréhension. Plus tard, Fuchi se plaint qu'on ne filme que Tamae.
Un moment après, Miyake rejoint le reste de l'équipe disant avoir vu Fuchi dévorer Tamae par jalousie. Fuchi se montre et se met à les poursuivre. Elle attrape Miyake et le dévore à son tour. En courant, Iwasaki tombe à terre et Fuchi le regarde et lui dit "enfin seuls!"

Takeshima Mami, une jeune fille hospitalisée, voit la mort en rêve. Ses médecins neurologues essayent de lui faire comprendre qu'il s'agit en fait d'un autre patient qui traîne la nuit dans les couloirs. Nommé Mukôda Tetsurô, il est arrivé pour des problèmes de cauchemars insupportables. Il a aussi des pertes de mémoire. Le médecin chargé de lui, Kuroda, l'observa la première nuit à l'hôpital et remarqua un court instant une activité cérébrale anormale. Mukôda a l'impression d'avoir rêvé pendant des années et craint qu'ils s'allongent encore.
Aujourd'hui, Mukôda a dépéri. Il prend Mami pour sa femme qui, elle, le voit comme un dieu de la mort et pleure pour sa vie. Le jour suivant, Mukôda perd un peu plus de son humanité et se désagrège. Kuroda analyse les restes de son cerveau et observe des cristaux inconnus, liés sûrement à ses rêves.
Mami se sent mieux par la suite, mais elle parle de ses rêves qui lui semblent devenir de plus en plus longs. Kuroda pense que les rêves permettent d'évincer la peur de la mort.