L'assistante de Decim trouve un matin dans la bibliothèque le livre du conte de Chavvot. Elle apprend de Decim qu'il appartient à Quin, son prédécesseur, ce qui lui fait repenser à ses débuts dans le bar. En guise d'ultime formation en tant qu'arbitre, lui et un autre devaient observer deux humains jugés qui jouaient au billard et utiliser les mécanismes de triches pour favoriser un joueur puis l'autre afin de créer une tension extrême entre eux. Decim passa tout son temps à observer ces humains et n'utilisa pas les mécanismes, ce qui déplu fortement à son nouveau collègue Ginti qui considère les humains comme des créatures stupides dont il faut s'amuser. Mais Nona lui dit que tous les arbitres ne sont pas obligés de se ressembler et Quin lui conseille de trouver quelque chose d'important à accomplir dans son métier.
C'est pourquoi Decim, qui refuse d'oublier ses clients à l'instar des autres arbitres, récupère le corps des clients qui lui sont chers. Ces corps ne sont que des mannequins recevant temporairement l'âme des défunts le temps de leur jugement et disparaissent après. Decim en garde dans son bar, pour honorer la mémoire de ceux qui l'ont marqué.
Ginti de son côté, a toutes les peines du monde à décider du sort de la turbulente Arita Mayu.
Pendant ce temps, Quin rend visite à Nona pour prendre de ses nouvelles. Quin se plaint de son nouveau travail aux services de renseignements où sont compilés les souvenirs des morts. Le surplus de travail dû à l'augmentation du nombre de morts rend sa tache trop machinale. Elle demande à Nona comment se passe l'intégration de Decim. Cette dernière lui fait comprendre que tout ne se trouve passe pas forcément comme prévu mais elle est intéressée de voir ce qu'il se passera par la suite en laissant juger quelqu'un comme lui qui éprouve des sentiments humains lors de ses jugements. Elle s'interroge aussi sur la légitimité des arbitres qui ne meurent jamais et donc ne jugent pas les morts en connaissance de cause.
Plus tard, Nona s'arrange avec Castra, chargée de répartir les morts aux arbitres pour en envoyer deux particuliers à Decim.
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