Poison City
Visuel Poison City / Yuugai Toshi (有害都市) (Seinen)

Tome 1

Date de sortie originale : 17 avril 2015
Date de sortie en France : 12 mars 2015
Visuel Poison City tome 1

Contient les chapitres 1 à 7 + postface

 

 

Hibino Mikio présente son projet de manga à son éditeur Higa Tadamine. Ce dernier approuve son concept parlant d'une contamination d'humains qui le sposserait au cannibalisme. Les héros sont deux étudiants qui participé en tant que cobayes à un programme d'essais cliniques pour trouver un remède à ce mal, l'un en est ressorti partiellement immunisé et l'autre totalement immunisée mais à cause de son faible organisme, elle doit porter un masque en permanence.
En rentrant après ce rendez-vous, Mikio assiste à la destruction d'une statue semblable au Mannenken-Pis, décidée par le comité d'assainissement de Tokyo en vue des JO 2020. Cette statue véhiculerait une image de pornographie infantile. Le comité se compose notamment de l'ancien ministre la culture, Furudera Osamu. Lors d'une réunion du comité, il a fait estampillé d'"ouvrage déconseillé" un manga comédie romantique parlant de la relation entre un frère et sa sœur.

Mikio retrouve Tadamine pour faire le point sur l'avancement de son manga. Tadamine lui demande d'une part, de modifier son concept afin que les contaminés soient considérés comme des zombis et non pas des humains; d'autre part, il faudrait la violence. Tout ceci afin d'éviter la censure.
Kadowaki Shuji, directeur des éditions Shôeisha organise une réunion d'urgence. La maison d'édition a reçu une lettre de Furudera Osamu blâmant Dark Walker, le nouveau manga de Mikio, qu'il considère comme trop choquant. Pour éviter le pire, Shôeisha fait retirer de la vente le numéro de Young jJnk dans lequel est paru premier chapitre de Dark Walker.
Accompagné de Tadamine, Mikio fait la tournée des autres auteurs publiés pour leur présenter ses excuses quant au retrait du magazine de ce mois. Tous compatissent à son sort. Il termine avevc Matsumoto Shingo, qui avait publié autrefois le manga Innocence, traitant de violence infantile. Mais il fut retiré de la vente après que des enfants qui ont tué un camarades et que la police a retrouvé chez eux des tomes d'Innocent. Shingo travaille maintenant sur manga action qui va sortir simultanément en anime. Des acteurs posent pour la réalisme des scènes et lui se consacre à décalquer les photo pour ses planches. Tadamine part en premier et les laisse tous les deux. Shingo parle franchement à Mikio. Il lui apprend qu'après le retrait de son manga, Il dut rester enfermé pendant vingt heures à regarder des vidéos de violence faite aux enfants, provoquant son écœurement. Désormais, Shingo est d'accord que les mangaka ne doivent plus pouvoir dessiner n'importe quoi. Il semble adhérer au modèle de création de manga par des scénaristes experts et que les mangaka ne soient que techniciens pour coucher sur papier des histoires approuvées. Cela permettrait ainsi de produire industriellement des œuvres de qualité. Mikio garde toutefois son intime conviction qu'un mangaka doit rester libre dans ses œuvres.
Quand il repart, Yuki, l'épouse de Shingo lui demande de pas maintenir son manga dans Young Junk car ça porte préjudice à son mari qui perd de l'argent pas sa faute.

Dans la suite de Dark Walker, les protagonsites coopèrent pour s'en sortir et cherchent des solutions à la contamination. Ils collaborent un moment avec la police mais l'inspecteur en contact avec eux se fait lui aussi infecter.

Mikio, sur la suggestion des responsables éditoriaux, fait publier suite manga sur le site web de la maison d'édition, ce qui lui laissera sa liberté d'expression. Alfred Brown, éditeur états-unien de manga, remarque son oeuvre. Il fait le voyage au Japon rien que pour lui. À sn arrivée, il voit un groupe d'enfant promouvoir la collecte d'ouvrage nocifs. Il rencontre Mikio et Tadamine pour leur propose d'éditer Dark Walker aux États-Unis. Il leur apprend que son pays avait subi le même, quand fut instauré le Comics Code, suite à la publication de l'essai pseudo-scientifique de Fredrick Wertham nommé "Seduction of Innocence". Il y statue que les bandes-dessinées auraient des influences néfastes sur la jeunesse. Par la suite, les comics s'appauvrirent pour ne se résumer qu'à des simples histoires de super héros contre des super méchants.
En ressortant, Alfred confie discrètement à Mikio qu'il connaîtrait un moyen d'éviter la censure.

 

Cinq ans auparavant, Mikio, qui était assistant de mangaka, n'arrivait pas encore à lancer sa propre carrière. Shingo de son côté, démarrait la publication d'Innocence. Osamu commençait déjà à décrier dans les media la surenchère de la violence des les mangas juste pour faire vendre, sans se soucier que cela pût pousser les lecteurs à commettre des crimes. Chez lui, il brûla la lettre et le manuscrit que son fils lui avait envoyé, où il lui parlait de ses débuts de mangaka.

Mikio avait réussi à décrocher la publication d'un manga d'histoires courte d'horreur, mais il fut arrêté après seulement huit chapitre, à cause d'un fait divers similaire à l'une es scènes de son manga.

 

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