Yubisaki kara no Honki no Netsujō: Osananajimi wa Shōbōshi
Staff
Réalisateur: Toshihiro Watase
Structure de la série: Tombo
Character Design: Katsuyuki Sato
Directeur artistique: Masakazu Miyake
Directeurs de l'animation en chef: Kakuto Gai et Katsuyuki Sato
Directeur du son: Takahiro Enomoto
Directeur de la photographie: Chōjūrō
Couleur: Junpei Washimi
Montage: Kōki Shinkai
Studio: Hōkiboshi
D'après le manga Yubisaki kara no Honki no Netsujō de Tanishi Kawano
Site offciel: https://yubinetsu.cf-anime.com/
Résumé global
Fujihashi Ryô, une employée de bureau, se retrouve un jour prise au piège chez elle par l’incendie de son immeuble. Son ami d’enfance Mizuno Sôma, devenu pompier, lui porte secours et lui propose de l’héberger chez lui. Sôma, que Ryô n’avait jamais considéré comme petit ami potentiel, entend bien la séduire.
Génériques
Ending: "BLAZING LUV!!" par Sakuragaoka Shōbōtai
Fiches personnages
Résumé des Épisodes
Avis
En me décidant à commencer ce petit anime, je m’attendais à une comédie légère avec du fan service gentil, quelle n’a pas été ma surprise en constatant que ça allait bien au-delà 
Cet anime existe en deux versions: l’une diffusée à la télévision, ne contenant pas les passages pornographiques, l’autre diffusée sur le web (sur le site de ComicFesta), la version complète. Autant le dire, la version écourtée n’a pas grand intérêt et ne semble que du teaser de la version complète. Car oui, cet anime en dehors du sexe, n’a pas un très grand intérêt, les personnages et leur romance demeurent plus que bateau. Un triangle amoureux se profile même, digne des shojo les plus lambda. À la limite on peut s’en contenter si on souhaite juste reluquer des belles plastiques (les masculines encore plus que les féminines) sans aller au-delà. En plus, l’héroïne qui fait les sainte-nitouche sans pour autant réellement repousser Sôla a de quoi agacer, l’héroïne de base d’un hentai quoi, où ses "non" ne semblent là que pour la forme. Donc, si on a tout ça, sans même d’érotisme, ça ne vaut pas le coup lol. D’autant que l’anime demeure plutôt soigné visuellement. Sauf que parfois pendant les scènes de sexe, ils oublient d’animer les bouches quand les personnages parlent encore. Causer ou gémir, il faut choisir :p. Et rien de hard, rassurez-vous.
Des séries d’animation à tendance hentai demeurent assez rares. Ça se regarde bien.
Hanoko, six épisodes vus, le 23/08/2019
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Wallpapers
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