Tome 1

Contient les chapitres 1 à 4

Arima Kôsei a arrêté le piano depuis son blocage en pleine prestation de concours lorsqu’il avait onze ans. À présent en dernière année de collège, son amie d’enfance Tsubaki voudrait qu’il croque la vie à pleine dent mais il reste sans étincelle dans le regard. Sa mère, qui le faisait travailler d’arrache-pied le piano, est morte il y a trois ans, le laissant totalement déboussolé.

Un jour, Tsubaki à Kôsei demande de l’accompagner pour une sortie visant à arranger la rencontre entre leur Watari Ryota et Miyazono Kaori, une amie de Tsubaki dans sa classe. Kaori arrive en première et s’amuse à jouer un morceau avec des enfants, tandis qu’arriv ensuite Kôsei la voyant faire. Puis tous les quatre avec Tsubaki et Ryota se rendent à un concours à l’auditorium Towa auquel participe Kaori, étant violoniste. Tsubaki espère réveiller en Kôsei son envie de reprendre le piano. Kaori éblouit l’auditoire de par son interprétation musicale de la Sonate de Kreutzer de Beethoven s’écartant de la partition. Les juges ne la sélectionnent pas en raison de cet écart, mais elle obtient le vote du public.

Après une journée de cours, Kôsei croise Kaori à la sortie du collège. Elle voulait voir Ryota, probablement encore à son entraînement de foot, mais à défaut, elle propose à Kôsei une balade. Ils mangent des sucreries dans un salon de thé puis font un tour. Kaori lui avoue qu’il était un modèle pour elle comme pour beaucoup d’autres enfants aspirant à devenir de grands musiciens et lui demande pourquoi il a arrêté le piano. Il lui confie qu’il ne parvient plus à entendre le son du piano. Kaori le pousse alors à ne pas se laisser brider par ça et jouer quand même. Son entrain force l’admiration de la part de Kôsei. Kaori va alors lui demander de l’accompagner au piano pour la deuxième étape de son concours, mais il refuse.

Kaori en parle à Tsubaki, qui va le harceler pour le faire accepter. Kaori demande à son amie si elle est amoureuse de Tsubaki. Elle répond le voir plutôt comme un frère et aimerait que s’il ne reprend pas la musique, ce soit par un vrai choix et non pas dépit.

Kaori renouvelle sa demande à Kôsei de l’accompagner en tant que pianiste et l’accuse de fuir la musique et se trouver des excuses. Il admet avoir peur de remonter sur scène, mais Kaori le suppliant de la soutenir, il finit par céder.