Tome 7

Yongbi, après avoir prouvé sa supériorité face aux subalternes de Janwol, affronte le maître. Malgré les nombreux coups mortels qu'il lui assène, Yongbi ne parvient à triompher de Janwol car ce dernier se régénère à chaque fois.

Pendant ce temps, Ae Mon Hong et son commandant en chef le doyen Mook étudient la situation dans leur quartier général. Ces mages noirs appartiennent à la secte d'Asouhra, école d'arts martiaux obscure vénérant le dieu de la guerre, qui tenta de prendre le pouvoir en Chine cent ans plus tôt mais qui fut vaincue et démantelée. À présent les derniers disciples veulent prendre le contrôle de l'ordre des arts martiaux. Étant donné leurs déplacements étonnement stratégiques, Ae Mon Hong en déduit qu'ils ont un complice qui connaît bien la région...

Les choses empirent pour Yongbi quand soudain, il se fait jeter violemment contre un mur par un fouet... celui de Sang Kwan Tchek! Ce dernier serait donc de mèche avec les mages noirs!
Mi Ryoung et Hwan Ryoung, observant la scène de loin, ont accroché du foin à la queue des chevaux dans l'enclos et allument chaque botte de foin et lâchent les chevaux dans la cour. Les canassons affolés se ruent dans tous les sens, semant le confusion parmi les mages noir. Sang Kwan Tchek presse alors les mages de quitter les lieux avant que les autres doyens de Tcheon Woung Bang n'arrivent. Les gardes assignés à la résidence de Hwai Yang Roo, vont trouver Gu Hui contre les ordres de Sang Kwan Tchek afin de le tuer et de venger les leurs que le roi des Serpents Noirs a tués par le passé. Mais Gu Hui ayant recouvré une partie de ses moyens, tue ces gardes. Puis en sortant il voit l'incendie et le cadavre de quelques mages noirs. 
Arrivent alors des doyens et des disciples de Tcheon Woung Bang qui croient que Gu Hui est responsable de toute cette destruction mais le plus ancien des doyens arrive à la conclusion contraire car bien que les Serpents Noirs soient leurs ennemis, ils n'auraient pas de motif pour les attaquer ainsi. Ils laissent partir Gu Hui et se retirent. Kwani a été ramené et soigné par un moine bouddhiste qui a disparu peu après. Le fait qu'il détînt une lettre scellée par le chef du conseil et qu'il ait pu soigner Kwani pourtant mourant signifierait qu'il s'agit d'Il Gak, l'un des plus talentueux disciples des moines shaolin. Il aurait été désigné pour prendre les rennes du clan mais aurait refusé.