Épisode 12

Un traité de paix va être signé entre les modérés et les rebelles Gardarik dans la ville de Distery. Dietfried Bougainvillea et ses hommes de la marine sont réquisitionnés pour participer à la sécurité de l'événement. Cattleya et Benedict ont aussi été missionnés pour la rédaction de courrier sur place et oeuvrer dans le sens de la paix.
Cependant, du côté des Gardarik, le brigadier-général Merkulov n'entend pas accepter la paix si facilement. Il n'oublie pas l'humiliation qu'il avait subie en perdant son fort (voir épisode 8)
Violet repart par avion et son pilote survole la ligne de train qui va relier le nord et sud, symbole de paix. Ils aperçoivent en chemin plusieurs stations incendiées le long de la voie ferrée. Violet se rend que les bâtiments ont subi des explosions. Un peu plus loin, elle aperçoit Cattleya et Benedict dans le train à l'arrêt et demande à les rejoindre. Elle retrouve ses collègues mais croise aussi Dietfried. Elle l'avertit pour l'attaque des soldats de Gardarik contre eux (voir épisode 11) et de la cause non accidentelle des incendies le long de la voie ferrée. Elle insiste pour participer aux opérations qui seront lancées en conséquence. Dietfried informe ses supérieurs de la situation, qui envisagent une attaque probable au pont Grandezza, qui paralyserait la ligne de train pendant un long moment.
Dans la nuit, alors que le train est en marche, Merkulov et ses hommes s'infiltrent dans le train grâce à leur taupe, Isidor. Ils commencent leur attaque, des bruits de détonation retentissent. Violet, alertée, va voir Dietfried. Puis, elle intervient elle-même, elle trouve sur le toit d'un wagon les rebelles et commence à les combattre. Merkulov la reconnaît et clame sa légitimité à s'opposer à la paix, après tous les siens qui sont morts pour le nord, à présent à la botte du sud. La volonté de Violet à ne pas tuer et l'espace réduit la brident trop dans ses mouvements. Les rebelles l'immobilisent. Dietfried, qui était passé par derrière, la sauve. Il lui reproche d'avoir causé la mort de Gilbert et ne voit aucun sens à sa vie. Violet rétorque toutefois que c'est Gilbert qui lui a ordonné de vivre et elle compte ne plus jamais prendre de vie. Pendant qu'ils parlent, Isidor tire sur Dietfried de son fusil grenade. Violet s'interpose et le protège grâce à ses bras mécaniques.