Épisode 16 : Once upon a time

Peu après la formation de Tokyo Manji, les six amis se firent un tour à moto. Sauf Manjirô avec son vieux scooter à la vitesse bridée auquel il tenait. Un modèle CB250T version 50 cc. Un autre groupe de motards passant par là les railla. Ils voulurent détruire le scooter de Manjirô mais ils se ravisèrent en les avertissant qu’ils leurs casseraient la figure s’ils les revoyaient dans le coin. Plus tard, Manjirô tomba à cours d’essence et, refusant d’assumer seul son manque de prévoyance, fit décider à pierre feuille ciseaux qui irait remplir le réservoir. Cela tomba sur Keisuke, qui partit à la recherche d’une station essence tandis que les autres allèrent profiter de la plage.  Keisuke tomba sur la même bande de motards qui s’en prirent à lui et, alors qu’ils allaient saccager le scooter, arriva Manjirô, qui avait oublié son maillot. Il dégomme lui-même son scooter puis il casse la figure des malfrats.

Quelques jours plus tard le 13 août 2003, Kazutora incita Keisuke à aller voler une moto CB250T pour l’offrir à Manjirô pour son anniversaire. Peu confiant, Keisuke le suivit néanmoins. Ils parvinrent à entrer par effraction dans une boutique et voulurent voler un modèle exposé et customisé. Kazutora partit ouvrir le rideau de fer pour s’enfuir avec la moto qu’ils voleraient. C’est alors qu’arriva Shin’Ichirô, propriétaire de la boutique, qui vit Keisuke seul et le reconnut. Kazutora revint ensuite et le frappa par surprise à la tête avec son sécateur. Keisuke paniqua, révélant à Kazutora qu’il s’agissait en fait du grand frère de Manjirô. Keisuke fondit en larmes devant le corps inanimé de Shin’Ichirô tandis que Kazutora, choqué, ne comprit pas pourquoi les choses dérapèrent ainsi alors qu’ils faisaient tout ça pour Manjirô. Il en vint à se dire qu’il ne lui restait comme seule solution qu’à tuer Manjirô. La police arriva alors et envoya Shin’Ichirô aux urgences. Manjirô arriva sur les lieux et vit ses deux amis mis aux arrêts. Keisuke sanglota en voyant Manjirô et ne put que prononcer des excuses.