Épisode 17 (5) : Ceux qui n'abandonnent pas

Azazel fait part aux démons de sa volonté d'employer le dragon rouge pour renverser le roi.

Nina emmène Mugaro faire des emplettes avec elle et lui fait acheter des vêtements de filles. Elle assiste à une scène dans la rue d'un maître torturant son esclave démon. Alors que Nina le somme d'arrêter, sans peur de représailles, Mugaro fait disparaître le collier des esclaves démon qui scelle leurs pouvoirs. Ces derniers, libérés poursuivent leur maîtres et ses hommes. Mugaro sent alors la présence d'un ange en ville.
Le roi Charioce est informé de l'activité suspecte en ville, probablement des dieux en recherche de l'enfant sacré. Le roi répond cependant que la priorité reste la capture du Démon en Haillons, qui les mènera à l'enfant.
Pendant un entraînement des Chevaliers d'Orléans, Allesand fait part à Dias de sa lassitude, lui qui avait rejoint cet ordre par admiration pour Jeanne d'Arc, doute de son capitaine actuel, Kaisar. Dias lui rétorque toutefois que Kaisar est quelqu'un de fiable malgré les apparences qui a participé à la protection de la capitale, lors de l'attaque de Bahamut il y a dix ans.
Kaisar pour sa part, invite Rita à déjeuner. Il se met à vider son sac à propos de la situation actuelle, lui qui est tiraillé entre son empathie pour Azazel et son devoir de chevalier. Rita, qui s'attendait à un déjeuner galant, est ennuyée au possible. Elle le frappe et lui répond qu'elle ne voit plus en lui l'homme naïf mais prêt à se battre à corps perdu pour ce en quoi il croyait.
Sofiel rend de nouveau visite à Bacchus pour lui demander des informations à propos de l'enfant sacré, mais il reste muet. Peu après, Nina et Mugaro rentrent. Nina fait cracher à Hamsa que cette femme était une ancienne collègue de Bacchus. Puis quand elle mentionne l'anecdote à propos des esclaves démons et de l'action de Mugaro, Bacchus comprend qu'il s'agit de l'enfant sacré.
Kaisar s'entretient avec le roi, dans le sanctuaire de Bahamut. Charioce fait le bilan des dix dernières années, lui, fils de concubine dont l'attaque de Bahamut a permis de prendre le pouvoir. Après avoir écarté toute gêne à son accession au trône, il a asservi les démons et dominé les anges. Kaisar essaye de lui faire comprendre que la suprématie des hommes aux dépends des anges et démons ne fera qu'engendrer haine et souffrance alors qu'autrefois, face à Bahamut, humains, anges et démons ont oeuvré main dans la main. Le roi le traite de naïf et l'avertit que s'il se met en travers de son chemin, il l'éliminera.