La foule côté dieux acclame avec ferveur Poséidon qui a versé le premier sang de Kojiro. Poséidon toutefois, leur adresse un regard noir. Kojiro l’invite à accepter les encouragements de ses camarades, mais Poséidon rétorque que les dieux naissent parfait et de fait, ne complotent pas, ni ne se forment en coalition, ni ne se font de camarades. Kojiro répond que c’est là une bien triste vie. Poséidon, visiblement affecté, fond vers lui et le rue de coups. Kojiro résiste toutefois et parvient à briser la distance le séparant de Poséidon. Poséidon cependant, lui brise son sabre.
Kojiro repense alors à son duel à mort avec Miyamoto Musashi qui exalta les deux épéistes. Kojiro perdit et mourut mais dans l’au-delà, il ne cessa de s’entraîner. Il brandit le sabre et la lame brisée et Hrist exécute un Re-Volündr, se transformant en deux sabres.
Brunehilde explique à Göll que réside là le pouvoir spécial et unique de Hrist, incarnant à la fois entre la peur et la rage.
Kojiro reprend alors le combat, adoptant les techniques de tous les maîtres de sabre qu’il a combattu, dont Musashi qui figure parmi le public. Il taillade ainsi de toute part Poséidon, fort de toutes les simulations de combat et de son expérience lui permettant de reprendre le dessus.
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