Épisode 8 : Et vient le silence

Kôgami compare les lieux dans lesquels ont été laissés les corps retrouvés récemment par rapport aux lieux où Tôma Kôzaburo laissaient ses cadavres et remarque que la démarche n'est pas la même, l'un cherchant à faire passer à message, l'auteur seulement à faire voir sa sculpture au plus grand nombre. Accompagné d'Akane, il se rend à une prison hautement surveillée retenant les pires criminels. Il visite l'un des détenus, ancien vendeur d'art et lui montre les photos des scuplutres. Il reconnaît très vite le style d'Ôryô Rôichi.
De retour au QG, ils ne tardent pas à découvrir que sa fille Rikako est élève à l'académie Ôsô où les lycéennes ont disparu et dont certaines ont été retrouvées en sculpture dans la rue. Alors que Ginoza et son équipe était déjà sur place, Kôgami et Akane s'y rendent également pour retrouver Rikako. En pointant son Dominator sur elle, le chiffre faramineux lui indique un taux de criminalité énorme. Mais Rikako réussit à s'enfuir grâce à l'aide de ses nombreuses amies dans le lycée.
L'équipe de police revient alors au QG pour étudier les passages de Rikako dans le lycée et remarque qu'elle se rendait dnas un hangar normalement pas une destination usuelle pour les élèves du lycée. Ginoza et son équipe y retournent pour vérifier les lieux. Ils découvrent là tout le matériel de Rikako pour ses scuplutres macabres et trouvent le cadavre de Kagami.
Pendant ce temps, Kôgami essaye de passer à nouveau en revue tous les enregistrement des caméras de sécurité du lycée où appairaît rikako mais étrangement, toutes les vidéos ont été brouillées sauf une, où Rikako discute avec un certain professeur du lycée nommé Makishima.

Ce Makishima même fait assassiner Rikako par l'un de ses sbires, désintéressé par la jeune fille depuis que la police l'a repérée. En revanche, il jette son dévolu sur Kôgami pour constituer sa nouvelle source de divertissement, intéressé par ses capacités d'analyse.