Épisode 6 : Le retour du prince fou

Akane essaye de se renseigner sur ce qui a pu se passer pour que Kôgami soit rétrogradé du reste de l'équipe, Kagari mentionne un ancien camarade de Kôgami et Ginoza qui décéda lors d'une ancienne affaire non résolue. Karamonori lui apprend ensuite que l'affaire en question concernait des morceaux de corps humains conservés grâce à la Plastination et laissés en pleine rue, au milieu d'hologrammes faisant croire à une mauvaise blague. Il se trouve que le coupable de ce crime, Tôma Kôzaburo, n'avait aucune connaissance particulière en chimie qui lui permît d'accomplir un tel forfait. L'affaire est restée sans suite.
Ginoza a interrogé Kanehara (voir épisode 3) pour savoir comment il a pu pirater les drones normalement ultra sécurisés et répond qu'il a seulement reçu par la poste ce programme de hacking d'un inconnu. Il se trouve également que Mido (voir épisode 5) n'avait manifestement pas de compétence en hacking pourtant indispensables pour pirater et usurper l'avatar d'un autre.
Kôgami associe ces trois affaires comme l'oeuvre d'un même coupable qui offrirait à des gens ayant des désirs de tuer les moyens de tuer. Il reste profondément convaincu que cette hypothèse relie ces trois crimes.

À l'académie non-mixte Ôsô, une étudiante du nom de Kuzuhara Satsuki a disparu depuis quelques temps. Parmi les élèves, l'une est particulièrement populaire: Ôryô Rikako. Un soir, l'une de ses camarades, Yoshika, vient la retrouver dans la salle du club d'art dont Rikako est responsable. Là, Yoshika lui confie son mal être causé par son beau-père dont le comportement est trop tendancieux à son égard. Rikako lui propose une autre vie que celle qui est le sienne actuellement...
Peu de temps après, sous une fontaine holographique, des agents de la sécurité ont retrouvé un corps de jeune fille enchevêtré dans une croix chrétienne et des roses rouges.