Tome 11

Contient les chapitres 103 à 113

Après qu’Ivan a sauvé Ester, celle-ci lui en demande la raison, mais il répond lui-même l’ignorer. Elle lui confie l’effroi qu’elle ressent vis-à-vis de la malédiction qui la ronge et l’implore de l’aider, étant même prête à se faire passer pour Zena auprès de lui. Ivan entre en colère quand elle l’évoque et lui répond qu’il n’a aucune aide à lui apporter là où même Dieu reste sans secours. Il conclut que tout ce qu’elle peut faire désormais est de le haïr. Il s’en va en la laissant là.

Ester reprend sa route. Elle vole à deux chasseurs de prime qui avaient capturé un homme à la tête mise à prix un cheval.

Joshua mène un corps expéditionnaire qui va se charger de purger un village dont les habitants sont devenus des zombis.

Cario piste la trace d’Ester tandis que Coburn et Juan l’attendent en ville.

Cario est témoin de l’exécution d’un enfant survivant par Joshua, qui le traite en hérétique. Ne supportant pas un tel acte, il les suit.

Juan reçoit un courrier qu’il avait fait demander et il parle à Coburn de l’organisation des Bertines, qui a causé le malheur d’Ivan. Il lui explique que ce groupe agit en exécuteurs souvent sans l’aval du pape, obnubilé par la dichotomie de bien ou de mal.

Cario, qui suivait Joshua et son groupe, est repéré et ces derniers passent à l’attaque.  Cario se défend et en tue plusieurs d’entre eux, mais Joshua lui arrache un bras et ses hommes survivants l’achèvent.

Coburn, Nobik et Juan se mettent en route. Le marshall fait part de son opinion au prêtre : les Bertines font seulement le sale boulot du Vatican et eux ne sont probablement que des pions dans l’affaire. Ils découvrent plus loin les exécuteurs tués par Cario.

Joshua et son groupe ont repris la route. En fouillant les affaires de Cario, ils ont constaté que celui-ci travaillait avec des agents fédéraux auxquelles le père Juan est rattaché. Joshua considère la mort de Cario comme un exemple afin de prouver leur détermination sans faille à accomplir leur mission.

Coburn, Nobik et Juan découvrent le cadavre de leur coéquipier, poignardé et planté sur une paroi rocheuse avec des croix dessinées à côté. Ils lui dressent une sépulture et, alors que Juan commençait à réciter quelques prières pour l’âme de Cario, Coburn lui commande de plus jamais le faire en sa présence, ajoutant que le symbole de la croix devient désormais celui de ses ennemis.

Ester trouve la planque d’un groupe de bandits qui déjà eu des démêlés avec feu son père. Elle s’entretient avec leur chef et l’interroge au sujet de fils Alonson, son benjamin, qui serait atteint d’une maladie virale et demande à l’examiner. Il lui explique alors qu’Alonso avait recueilli un enfant trouvé au bord de la mort. Le petit l’a mordu, le contaminant d’un mal tel qu’Alonso en est mort après quatre jours d’agonie. Puis il s’est relevé et a dévoré trois de leurs hommes. Ils le gardent actuellement enfermé dans une pièce en sous-sol.