Épisode 1 : Musashi et Kojirō

Un jour de l’année 1568, à Hinomoto, des onis dirigés par les kishins, les plus puissants d’entre eux, asservirent les humains. Les plus valeureux guerriers humains se constituèrent en groupe de riposte et défense, les bushis, mais presque tous furent défaits.

Cent-cinquante ans plus tard. Musashi est un adolescent travaillant dans des mines et suivants des cours, leur enseignant l’adoration des onis et le mépris des bushis désignés en tant que monstres sanguinaires.

Musashi est ami d’enfance de Kojirō, lequel était descendant de bushi. Tous deux s’amusaient à s’entraîner au maniement du sabre et rêvaient un jour de devenir bushi. Aujourd’hui, Kojirō vit en paria, à cause de ses origines.

Aujourd’hui, Musashi va bientôt partir pour devenir officiellement mineur, son apprentissage étant terminé. Il rend une dernière visite à Kojirō, lui disant qu’il prévoit toujours secrètement de devenir bushi. Kojirō n’en croit toutefois pas un mot.

Musashi et ses camarades de promotion partent dont afin de concrétiser leur apprentissage et sont conduits à d’autres mines où ils pourront rencontrer des onis. Passant un portail, ils découvrent cependant avec horreur que les onis esclavagisent les humains et massacrent les récalcitrants ou ceux pas assez performant au travail. Musashi décide de se rebeller et de combattre, mais on lui a pris à l’entrée sa pioche géante habituelle avec laquelle il s’était habitué à travailler et indirectement s’entraîner pour combattre.

Pendant ce temps, Kojirō voit que Musashi a oublié chez lui sa sacoche, et il y trouve un carnet de note de son ami qui étudiait vraiment les arts martiaux en même temps qu’il piochait durant sa formation.

Musashi se fait malmener par les onis quand arrive soudain Kojirō juché sur une moto, désigné par les gardes comme les véhicules des onis. Il restitue à Musashi sa pioche géante et se joint à lui au combat. Musashi espérait bien que Kojirō l’aurait rejoint, l’aventure aurait été bien insipide sans lui.

Après avoir tué plusieurs onis, le kishin approche.