Tome 6 : Sans soucis

Contient les chapitres 40 à 47 + Combats de la nouvelle lune (Les)

Yūtarō se montre prometteur et appliqué la tâche, même Yahiko reconnaît son potentiel. Durant un dîner, Yūtarō leur raconte ensuite Rajiuta les avais sauvé durant un voyage commercial tandis que son père, bafouant son honneur, avait supplié les brigands de les épargner. Kenshin et les autres le raccompagnent ensuite chez lui quand surgit Rajiuta, attaquant par surprise. Kenshin l’affronte mais en esquivant un coup, c’est Yūtarō qui est touché. Yahiko s’insurge qu’il ait blessé son élève mais Rajiuta ne l’a jamais considéré comme tel, profitant seulement de la richesse de sa famille comme financement de son projet. Kenshin promet de reprendre leur combat, mais il conduira d’abord le garçon chez le médecin. Ils se rendent chez le docteur Oguni, lui et Megumi soignent Yūtarō mais ils leur apprennent que ses nerfs et muscles ayant été sectionnés, il ne pourra plus tenir de sabre.

Kenshin repart terminer son combat contre Raijūta. Il comprend la technique de Raijūta, l’izuna, qui crée un vide lorsqu’il fend l’air, une technique semblable au kamaitachi. Raijuta assène de multiples izunas Kenshin qui les évite presque tous. Kenshin finit par percer à jour Raijuta, le voyant se réjouir de réussir à le blesser seulement superficiellement : il n’a jamais tué quiconque. Kenshin ne pouvant l’approcher à cause de ses izuna, projette son sabre pour lui porter un premier coup et l’assomme ensuite avec d’autres coups du bout de la garde de son sabre.

Kenshin et les autres raccompagnent ensuite Yūtaro chez lui. Yuzaemon leur apprend ensuite qu’il compte déménager avec Yūtaro en Prusse, réputée pour avoir la meilleure médecine du monde et espérant soigner le bras de son fils. Il espère aussi que l’éloignement du Japon lui changera les idées.

Une semaine plus tard, Kenshin et les autres viennent saluer Yuzaemon et Yūtaro avant leur départ. Seul Yahiko trouve les mots pour redonner du mordant à Yūtaro en l’attaquant avec son shinai. Yūtaro pare le coup avec sa canne. Yahiko l’enjoint à devenir plus fort que le Raijūta qu’il admirait et à ne pas rester un perdant. Yūtaro annonce qu’il continuer le kendō, avec son bras gauche s’il faut et qu’il reviendra le battre. Kaoru garantit à Yūtaro que la place de deuxième disciple du dojo Kamiya lui restera réservée. Une fois les Tsukayama partis, Kenshin et Kaoru discute. 

Un jour, Sanosuke mange seul à l'Akabeko. Tae lui demande d'aller lui acheter une estampe de Tsukioka Tsunan. Il trouve ce que Tae désire chez le marchand mais il tombe par hasard sur une estampe du même auteur où Sagara Sozo est représenté, le chef du Sekihôtai!
Sanosuke se lance alors à la recherche de l'auteur de cette estampe. Et cet auteur n'est autre que un rescapé du sekihôtai et un ancien ami de Sano! Son vrai nom est Tsukioka Katsuhiro.
Après leurs retrouvailles, Katsuhiro demande l'aide de Sanosuke pour se venger du gouvernement de Meji qui a trahi le Sekihôtai jadis en commenceant par détruire le ministère de l'interieur de Tokyo lui révélant par la même occasion son énorme stock de bombes qu'il a fabriquées lui-même. Il laisse un jour à Sano pour lui donner sa réponse.
Sano décide le lendemain d'organiser une petite fête en invitant Katsuhiro, Tae et Tsubame. C'est sa façon de remercier l'Akabeko et Kaoru des repas qu'il lui ont offert. C'est dans la nuit jour-même de la fête, tandis que tout le monde dort, que Sanosuke et Katsuhiro partent lancer leur assaut sur le ministère mais ils sont arrêtés par Kenshin qui les a manifestement suivis.
C'est alors que Sano se rend compte que leur chef n'auraient pas été d'accord avec leur façon de procéder. Il renonce à ce projet de destruction du ministère et parvient à convaincre Katsuhiro d'y renoncer aussi. Par la suite toutefois, Sanosuke et lui se brouillent et ne voient plus. Cependant, passant par la boutique d'estampe, le vendeur lui remet de la part de Katsuhiro alias Tsunan une estampe représentant leur chef. Le vendeur leur apprend aussi que Tsunan est devenu éditeur d'un journal qui dénonce les méfaits du gouvernement, au risque de la censure.