Tome 7 : Fille de picaresque

La présence de Charles-Henri est perçue comme un outrage par les invités. Pourtant ce dernier affirme avoir reçu une invitation du dauphin Louis-Auguste. De surcroit, la comtesse de Marlet intervient. sans mentionner explicitement qu'elle a a été l'amante de Charle-Henri l'espace d'une soirée, elle s'estime flouée car Charles-Henri ne lui avait pas révélé clairement la fonction qu'il occupait et dit se sentir souillée d'avoir partagé un repas avec lui. C'est Marie-Josèphe qui le fait arrêter et son procès prend aussitôt place. Toute cette mise en scène est du fait de Louis-Philippe II, qui cherchait par la condamnation de Charles-Henri à discréditer le dauphin du trône est espérer lui-même devenir roi.
Madame de Marlet choisit Estienne-Stanislas de Parnac, appartenant à la gendarmerie, comme avocat, tandis que Charles-Henri devra assurer sa défense seul. Estienne-Stanislas blâme Charles-Henri d'être un être maléfique porteur de mort, qui devrait porter un signe disctintif au premier regard pour que tous puissent savoir à première vue sa fonction. Charles-Henri lui rétorquent qu'en tant que bourreau aux ordre du roi, il ne fait qu'accomplir la justice en donnant la mort aux coupables. Contrairement aux militaires, qui tuent des innocent en guerre et qui ne parviennent à tenir les frontière affaiblies du pays. Estienne-Stanislas, offensé, brandit son épée et le défie en duel. Cependant Louis-Philippe le tue, voyant que le procès tourne à son désavantage et déshonorerait la fonction militaire à laquelle il appartient aussi. Charles-Henri est alors admis à la réception, mais tous trouvent un prétexte pur s'éclipser. Excepté le jeune Louis-Auguste qui témoigne à Charles-Henri de l'amitié.

Sept années plus tard. En Autriche, Marie-Antoinette se soustraie aux leçons de danse pour aller s'amuse dans le jardin avec sa soeur Marie-Caroline. Par la suite, la petite vérole touche plusieurs de ses grandes soeurs, ce qui compromet leur mariage prévu. Ainsi, Marie-Antoinette hérite de la tâche d'épouser le premier dauphin de France. Elle doit alors apprendre à donner plaisir homme, la langue française et les manières de la cour de Versailles.
Dans les bas-fonds de Paris, Jeanne de Valois-Saint-Rémi vit de larcins dans les rues après avoir fui le couvent. Un jour, André Legris la recueille chez elle et lui offre du pain. La jeune fille étant de sang noble, elle prend de haut André. Soudain débarque Marie-Josèphe, venue réembaucher André à son service après toutes ces années, afin de la seconder dans sa mission d'escorter de Marie-Antoinette vers la France.
Charles-Henri est devenu un proche confident de Louis-Auguste. Ce dernier lui parle de son trouble concernant son excitation virile à l'idée de la venue de sa future épouse, bien qu'il ne la connaisse pas. Puis il manifeste sa volonté de défier sa propre destinée. Il commence par embrasser Charles-Henri et déclare qu'il n'est pas de sang divin et compte bien mettre fin à la monarchie avec son règne.