Épisode 15 (2) : Une journée de formation / La douce folie des accros du travail

Hôzuki et d'autres démons assistent au spectacle des Chinese Angels, duo composé de Peach Maki et de Miki.
Peu apèrs, Hôzuki les fait venir en stage chez Enma qui sera retransmis sur leur site web. Goban s'est proposé pour le reportage.
Hôzuki commence à leur faire visiter plusieurs sections de l'enfer. Leur première tâche, aiguiser des couteaux. Les condamnés se rendent dans différents palais en fonction de leurs crimes. Ils passent notamment par la section gérée par Karashi, qui demande un autographe à Miki. Quand les morts sous sa responsabilité essayent de se substituer à leur peine, elle les frappe violemment pour les en dissuader. Hôzuki leur montre ensuite un hachoir destiné aux morts qui ont commis de petites trahisons. À la demande de Goban, Hôzuki les emmènent à d'autres activités pratiques: faire bouillir les morts dans des chaudrons, les faire griller, les tabasser, les faire geler.

Pendant une journée de travail, un mort nouvellement arrivé nie ses crimes. Enma demande alors à Hôzuki de lui faire passer le test du bâton de vérité, comportant une tête pour le mensonge et une tête pour la vérité. Le mort continuant de dénigrer ce dont on l'accuse, le bâton le brûle, signe de culpabilité et Enma le condamne à l'Enfer Hurlant.
Hôzuki va faire un tour aux archives avec Karauri et Nasubi pour leur montrer comment les informations sur les morts sont classées et leur faire rencontrer les scribes embauchés. Chaque être humain japonais dispose de deux gardiens qui consignent chacun les bonnes et mauvaises actions. Ensuite, les scribes recopient toutes les notes de gardiens, pour s'assurer de leur lisibilité et de leur conservation. Un travail de longue haleine qui épuise les employés du chef des archives. Hôzuki décide de faire venir un psychologue pour vérifier que tout va vraiment bien et il leur recommande des pauses. En revenant au hall d'accueil de l'enfer, Hôzuki trouve Enma en train de flâner et espérer des week-ends de cinq jours. Il le fait attacher à une croix en punition et permet au chef des archive de lui écrire sur le torse et les bras.