Épisode 20

Albert apprend par les informations que la date de mariage d’Eugénie a été ravancée. Il tente un soir d’aller la voir mais Andrea l’en empêche. Il lui révèle même qu’Eugénie, farouchement opposée à leur union initialement, s’est résignée quand il lui a fait comprendre qu’elle protégerait aussi bien les Danglars que les Morcerf avec ce mariage.
 

Andrea dans son bain, se délecte à l’idée d’apporter le désespoir à ses parents et sa sœur.

Le jour de la cérémonie administrative de mariage, tandis que Eugénie se prépare à contrecœur, elle repense à l’opportunité que F. Damrosch l’invitant à venir à son conservatoire, ayant apprécié sa performance à l’opéra (cf épisode 12.).

Lors de la cérémonie, le père d’Eugénie a invité des investisseurs en public, afin de les rassurer sur sa situation confortable en scellant son union avec les Calvancanti. La presse est également de la partie, dont Lucien et Robert.

Dehors, Beppo vient trouver Albert et veut absolument l’aider. Albert refuse d’être trahi nouveau mais Beppo se jette dans ses bras, confirmant vouloir soutenir celui qui fait battre son cœur.

Durant la cérémonie, lorsqu’Eugénie doit signer après Andrea la contrat de mariage, sa plume fait une tâche d’encre que la feuille et Beppo fait irruption dans la salle, déclarant cette bavure comme un signe que ce mariage doit être reconsidéré. Albert, qui était dissimulé parmi des serveuse emmène Eugénie pour fuir avec elle. Puis la police envahit la salle, faisant arrêter Andrea pour usurpation d’identité, vol, escroquerie et autres accusations. Renaud récupère Albert et Eugénie dehors tandis que Beppo s’en va de son côté.

Monte Cristo s’entretient avec Bertuccio et lui demande quels sont ses projets une fois toute leur affaire terminée. Bertuccio aspire à continuer à le servir mais Monte Cristo lui fait savoir que sa fortune lui reviendra à lui et ses autres serviteurs une fois tout terminé.

Jullian, dont la banque a fait faillite, compte s’enfuir en emportant ses réserves d’argent. Victoria reste confuse pour sa part.

Albert conduit Eugénie à l’aéroport pour son vol en direction de New York. Ils se font leurs adieux, Eugénie lui promet de toujours penser à lui en jouant du piano. Eugénie lui remet également la lettre à titre posthume de Franz, où il incite Albert à ne jamais oublier les moments heureux vécus malgré les périodes difficiles et la haine qu’il peut ressentir. Albert et Eugénie s’embrassent avant de se séparer.