Épisode 3 : Troisième tabou – la jalousie

Urû a grandi dans le clan des Flots, chargés d’administrer les différents clans féériques et ses parents lui ont donné une éducation stricte.

Au bar, Urû rentre après sa journée au lycée. Lui et Homura se disputent car Urû considère que la volonté de la reine est absolue tandis que Homura prône d’agir selon sa volonté propre.

Une jeune femme, Hokari Henmi, sort avec un acteur de théâtre nommé Sôji et éprouve pour lui une grande admiration, mais ce dernier se comporte de manière de plus en plus distante avec elle. Il rentre un soir, ayant déjà mangé et demande de la glace. Elle part aussitôt en acheter, alors qu’il pleut et s’attriste de la froideur de Sôji à son égard. Urû, qui passait par là, lui prête son parapluie.

Un autre jour, Henmi aperçoit Sôji se montrer très proche d’une autre fille. Alors qu’elle vient réclamer des explications, il la rejette agissant en parfait étranger. Alors qu’elle pleure à l’idée d’avoir toujours soutenu de son mieux Sôji, même lorsqu’il n’était pas encore connu. Urû lui propose son aide pour faire changer les choses. Elle accepte cette main tendue et Urû se transforme pour aller combattre le royaume psychique de Sôji. Le voici arrivé dans une dimension remplie de décors théâtraux et doit en combattre les différents éléments mais des tentacules le piègent, symbolisant la haine de Sôji à l’idée d’être enchaîné à quelqu’un. Cela rappelle à Urû combien lui-même a toujours vécu contraint par la discipline dans son enfance, ses parents l’avaient toujours réprimandé. Mais Urû se libère et réussit à vaincre la barrière mentale maléfique de Sôji. Cependant, Urû corrige aussi Henmi, qui commençait à jubiler de la punition de Sôji.

Par la suite elle et Sôji de séparent et Sôji fait son coming-out. Urû pour sa part, se fait lui-même subir une punition pour avoir levé la main sur celle qu’il devait protéger.