Épisode 1 : Stone World

Taiju se décide à faire sa déclaration à l’élue de son cœur Ogawa Yuzuriha. Il passe d’abord voir son ami Senku pour le lui annoncer, lequel lui propose un philtre d’amour, mais Taiju refuse pour rester fair-play. Heureusement pour lui, Senku avait juste liquéfié du plastique en essence.

Taiju va voir Yuzuriha à qui il tente de lui déclarer sa flamme mais soudain, une lumière verte inonde toute la région. Il se place devant elle pour la protéger d’un danger quand soudain, lui, comme tous les humains se fait changer en pierre. Ou plutôt recouvrir de pierre. Il survit des jours, des mois et des centaines d’année, coincé sans pouvoir bouger. La pensée de Yuzuriha l’aide à tenir le coup et quand un jour, sa carapace se brise, le voilà enfin libre. Il découvre que la nature a repris ses droits et trouve d’autres humains encore pétrifiés. Alors qu’il parcourt la forêt, il retrouve son ami Senku, qui s’est libéré depuis six mois pour sa part. Commencent leur vire commune où Taiju met en œuvre toute sa force physique pour assister Senku qui compte bien recréer la civilisation. Ils se construisent une cabanes, se fabriquent de spots en terre cuite, se cuisine leur nourriture…

Senku fait bientôt remarquer à son camarade que pour repeupler la Terre, il leur faudra bien trouver comment sauver aussi des filles. Dans la grotte où ils se trouvaient chacun avant de se libérer de la pierre, Senku recueille de l’eau mélangée à de la fiente de chauve-souris fossilisée, qui semble avoir provoqué l’érosion de la pierre les enfermer, ce qui leur aurait permis d’en sortir. Senku tente de nombreux mélanges sur des oiseaux enfermés dans la pierre, cherchant la formule précise pour y parvenir et se dit qu’ajouter de l’alcool permettrait d’obtenir la solution chimique efficace. Taiju lui ramène alors du raisin qu’il avait trouvé dans la forêt et ils se mettent à la distillerie.

Après des mois et d’essai infructueux, un hiver passe et ils réussissent enfin à libérer une hirondelle de sa pierre qui s’envole aussitôt.