Épisode 12: Katana vs tronçonneuse

Le démon libère Aki de son étreinte, qui semble sous l’influence de Himeno, lui remet une cigarette sur laquelle est écrit « easy revenge » et il se laisse tuer par Aki. Kobeni, arrivant par surprise, capture Sawatari.

Power et Denji arrivent à un étage supérieur, infesté de zombis, Power vales combattre, tandis que Denji poursuit son chemin. Il tombe directement sur le complice de Sawatari aux épées. Il reproche à Denji d’avoir tué des proches de lui et de ses complices mais Denji rétorque qu’il s’agissait de zombis et que cela ne lui fait ni chaud ni froid. L’homme lui répond que pour sa part, même si le Démon-Katana a pris possession de son cœur, tuer des zombis le traumatise contrairement à lui. Denji et lui se livrent alors bataille, se battant à travers toute la ville et arrivant sur le toit d’un train en circulation. Il tranche les bras de Denji, qui poursuit toutefois le combat à l’aide de la tronçonneuse sur sa tête et le tranche en deux. Il revient à lui sous forme humaine et le corps restauré, Denji l’a enchaîné au train désormais arrêté. Denji rappelle à Samurai Sword qu’il a tué Himeno et qu’il s’en sortira avec de la taule. Aki arrive et alerte le reste de l’équipe de la capture du criminel. Denji propose à Aki de se défouler sur lui et de lui briser les testicules afin de venger Himeno. Ils le passent alors à tabac.

Makima fait son rapport à sa hiérarchie : Sawatari Akane était une ancienne Devil Hunter dans le privé, qui s’est associée au Démon-Flingue afin de mettre la main sur le cœur de Denji. Mais avant de lui avoir faire avouer la raison, elle s’est suicidée. L’amas de douilles trouvé dans le bâtiment des mafieux avec lesquelle Akane s’était alliée leur permettra toutefois de localiser le Démon-Flingues.

Aki chez lui, fume la cigarette récupérée du Démon-Fantôme, sur sa terrasse. Denji, endormi, fait un rêve récurrent où il se retrouve face à une porte dans une ruelle et Pochita le défend d’ouvrir cette porte.

Une fille, pensant à Denji, lui demande ce qu’il préfère entre la souris des champs ou celle des villes en arrivant devant une boutique.