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Date de sortie originale : 25 septembre 2017
Date de sortie en France : 21 janvier 2021
Visuel Carnets de l'Apothicaire (Les) tome 1

Contient les chapitres 1 à 4

 

Mao Mao s’efforce de ne pas faire de vagues, depuis  qu’elle a été enlevée et envoyée sans son consentement au Palais de Jade, là où les concubines du roi et leurs servantes résident. Elle epsère en ressortir en gagnant le moins d’argent possible, car ses ravisseurs en récoltent une partie. Cependant, un fléau ébranle les lieux : chaque enfant qu’une concubine a mis au monde de l’empereur meurt en bas âge. Lifa, l’une des favorites, accuse l’autre favorite, Gyokuyo, d’avoir empoisonné son fils sous prétexte qu’elle n’a eu qu’une fille. Gyokuyo dément l’accusation, rétorquant que sa fille Shaolin aussi est malade. Mao Mao, observant se conflit de loin, se rend compte que c’est une poudre dont s’enduisent le visage les femmes qui intoxiquent à petit feu les enfants. Elle dépose incognito un message auprès de chacune des deux mères, mais un mois après, le fils de Lifa est mort, dévastant sa mère.

Jinshi, fonctionnaire au Palais de Jade, convoque Mao Mao, ayant découvert que c’était elle qui avait déposé les messages. Mao Mao ne peut nier son implication et explique qu’ayant travaillé comme apothicaire dans un quartier des plaisirs, elle a pu constater le phénomène. Gyokuyo remercie en personne Mao Mao, dont les indications ont permis de sauver Shaolin et la promeut sa cinquième dame de compagnie. Jinshi pour sa part, va user de son charme sur Mao Mao afin de la séduire et s’assurer de son obéissance.

Mao Mao devient goûteuse pour Gyokuyo, consciente que n’importe lequel de ses repas peut-être empoisonné. Mao Mao n’ose toutefois pas leur avouer qu’ayant beaucoup expérimenté de poisons et de venins sur elle-même quand elle était petite, elle a développé une certaine résistance. Elle peut néanmoins analyser le goût et la texture pour déterminer au premier abord si un met a de grands risques d’être empoisonné. Elle ne comprend toutefois pas pourquoi Jinshi la fixe, croyant qu’il trame un sale coup.

Ensuite, Mao Mao discute avec Honnian, première dame de compagnie de Gyokuyo. Elle lui confie qu’elle refuse un haut salaire, car elle veut minimiser les bénéfices de ses ravisseurs. Celle-ci confirme que les empotées sont souvent renvoyées au bout de deux ans. Elle brise une théière, agissant comme si Mao Mao l’avait fait, laquelle accepte que le dédommagement soit déduit de son salaire. Honnian lui offre toutefois l’équivalant en prime en main propre pour les risques qu’elle prend en tant que goûteuses. Mao Mao la remercie et sent bien que Honnian est du genre à s’attirer les bonnes grâces des autres.

Par la suite, Jinshi missionne Mao Mao de fabriquer un aphrodisiaque, laquelle accepte car elle pourra déployer ses compétences. Elle lui reste toutefois hostile, ce qui l’amuse et pique sa curiosité. En repartant, une concubine lui propose de boire le thé mais il refuse poliment. Lui-même est courtisé aussi bien de dames de compagnie que de fonctionnaires et soldats. Au fond de lui, il désapprouve l’empereur qui ne rend presque jamais visite aux femmes du Palais de Jade, si bien qu’elles se rabattent sur lui n’ayant pas d’autre alternative. Il a notamment complètement délaissé Lifa, qui se laisse mourir depuis le décès de son bébé.

Mao Mao accède à la réserve d’ingrédients du palais, normalement accessible seulement du médecin royal, assistée de Gaoshun, au service de Jinshi. Elle utilise notamment du chocolat, ingrédient rare que lui fournit Jinshi. Elle sait que les personnes habituées ne ressentiront rien, mais ceux qui en mangent très rarement sont généralement très affectées. Après avoir conçu plusieurs biscuits, quelques servantes en goûtent, croyant à un simple encas et se retrouvent toute émoustillées. Mao Mao présente son produit à Gyukuyo et remet à Jinshi les autres pâtisseries qu’elle a réalisées, se demandant bien comment il s’en servira. Elle imagine qu’au vu de sa beauté, il doit aussi bien séduire des femmes que des hommes. Mao Mao range ses ustensiles seule quand Jinshi  l’approche alors par surprise, l’embrassant dans le cou pour la récompenser de son travail avant de s’en aller.

 

Peu de temps après, Jinshi charge Mao Mao d’étudier le cas de somnambulisme d’une des femmes du palais, qui court sur des murailles la nuit. Il tente encore de la séduire, ce qui l’énerve d’autant plus.

Gaoshun emmène Mao Mao voir cette femme, Fuyo, en plein somnambulisme une nuit et lui explique qu’elle doit épouser le mois prochain un soldat. Mao Mao ne s’y connaît pas en remède contre le somnambulisme, mais elle fait part de manière confidentielle à Gyokuyo de sa théorie, d’après un cas dont elle a été témoin dans le quartier des plaisirs. Elle pense que Fuyo feint son somnambulisme afin de dégoûter l’empereur d’elle et conserver sa virginité pour l’homme qu’elle aime et auquel elle va se marier. Gyokuyo trouve son hypothèse plausible, d’autant que l’empereur aurait sûrement voulu vérifier la raison pour laquelle ce soldat veut épouser Fuyo. Mao Mao, ayant trouvé Fuyo éblouissante en déambulant cette nuit, s’interroge sur la puissance de l’amour.

 

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