Épisode 10 : Quelque Chose De Précieux

Guts part accomplir sa mission. Il voit Julius en train d'entraîner son fils Adonis à l'épée avec beaucoup de rigueur. Il attend que Julius se soit retiré dans ses appartements et là, d'un seul coup il le tranche tout le long du torse, avant que ce dernier n'ait le temps de dégainer son épée. Le seigneur meurt. À ce moment arrive Adonis qui a vu la scène. Guts le tue également pour éliminer tout témoin mais l'agonie de l'enfant avant de trépasser ébranle la volonté de Guts. Toutefois, il s'enfuit, tuant tout garde sur sa route. Dans sa course, il s'est pris une flèche dans l'épaule. Il s'échappe par les égouts.
Plus tard dans la nuit, il rejoint la taverne où se trouvent la Brigade du Faucon et demande à Casca à voir Griffith. Ce dernier se trouve au bal donné en l'honneur de la princesse Charlotte dans le palais de Pomrose. Guts allait le rejoindre tandis que Griffith sortait prendre l'air mais Casca arrête Guts. Charlotte rejoint Griffith et ils discutent tous les deux. Casca, voyant que Guts est blessé, panse sa plaie.
Guts écoute la conversation que Griffith a avec la princesse. Griffith explique sa pensée concernant la raison de vivre d'un homme. Selon lui, chaque homme poursuit un rêve qui dicte sa vie au delà de tout le reste. Quand Charlotte le questionne sur les Faucons, Griffith lui confie qu'il ne les considère pas comme des amis car ses hommes se battent pour son rêve alors lui pense qu'une véritable ami poursuivrait aussi son propre rêve en agissant d'égal à égal de lui, quitte même à s'opposer à lui si leurs objectifs divergeaient.
En entendant ces paroles, Guts semble pétrifié.

Le jour suivant, le ministre Foss a une conversation avec Griffith et lui fait part des rumeurs disant que la flèche qui l'a frappé pendant la partie de chasse (voir épisode 9) aurait pu lui être effectivement destinée. Griffith esquive habilement la question en avançant le fait que quelqu'un de sa basse condition ne saurait être la cible d'un assassinat. Avant de partir, Griffith adresse un regard assassin au ministre pour lui faire comprendre qu'il se doute de ses manigances.