Épisode 17 (5)

Louis et Juno marchent dans la rue, Louis commence par échanger quelques cordialités et prendre des nouvelles de Legoshi et Haru.

Pendant ce temps, Ibuki corrige sèchement un lion du gang qui envisage de faire rôtir Louis une fois leur clan suffisamment renforcé. Ibuki lui fait comprendre que Louis est leur chef et pas un morceau de viande.

 Juno est certaine que sa situation actuelle ne lui convient pas et qu’une part au fond de lui n’a pas abandonné. Elle veut le pousser à ne pas se laisser dicter sa conduite par la société et faire ses propres choix, tout comme elle qui continue d’avancer. Elle répond qu’il s’en mordra les doigts une fois qu’elle aura atteint le sommet et s’en va.

Legoshi retourne à l’école. Gohin lui a coupé court les poils de la tête, si bien que ses camarades ont failli ne pas le reconnaître. Il va alterner entre ses entraînements nocturnes auprès de Gohin et l’école la journée. Gohin lui fait subir une épreuve de résistance à l’odeur de la viande en l’enfermant dans une cellule avec une grosse cuisse suspendue. Legoshi retient à grand peine ses pulsions.

Au club de théâtre, Legoshi fait visiter la réserve à Pina, lequel lui fait remarquer qu’il a une tête de déterré. Legoshi évince le sujet et voit sa trace rouge sur la joue. Pina lui avoue qu’il s’est trompé de nom lorsqu’il a embrassé sa copine Pina l’interroge sur sa vie sentimentale, Legoshi avait lutté pour ne plus penser à Haru. Pina se demande pourquoi tout le monde ne jure que par les relations exclusives, lui qui prône l’importance de vivre selon ses désirs sans s’encombrer de morale. Il ajoute d’ailleurs que si Legoshi, un carnivore, venait à le croquer, il ne lui en voudrait pas. Sa frivolité met Legoshi hors de lui qui préfère s’en aller.

Louis rend visite à son père adoptif, qui l’avait acheté pour sept millions de yens, et exige qu’il signe sa demande de désinscription à Cherryton. Son père lui demande s’il fait une crise d’adolescence tardive mais Louis répond qu’il est désormais le chef des Shishigumi et le menace d’un pistolet.