Épisode 11: Je suis à Tokyo

Seishu est de retour à Tokyo et ils discutent du tableau qu’il a prévu pour l’exposition. Cependant, Seishu n’est absolument pas confiant. C’est alors que se pointe le directeur de galerie. Seishu, tétanisé au début, lui présente ses plus plates excuses pour son comportement, d’autant qu’il constate que le directeur est diminué physiquement. Le directeur les accepte et regarde la calligraphie de Seishu. Ce dernier panique à nouveau à l’idée d’une critique acerbe et jette du thé glacé dessus, en en reversant par inattention sur le directeur aussi. Il bafouille que celle-ci n’est qu’un brouillon et non celle prévue pour l’exposition. Le directeur le complimente toutefois sur son œuvre et espère voir la suivante.

Chez lui, Seishu se remet au travail pour produire une nouvelle œuvre remplaçant celle qu’il avait prévue, mais l’inspiration ne vient pas. Kawafuji vient l’aider mais comme à son habitude, Seishu angoisse. Il veut alors recréer l’ambiance du village, Kawafuji a appelé Kôsuke en renfort et Seishu commence à les ligoter avec des câbles, comme il a pu ficeler Naru et Hina pour qu’elles arrêtent de l’embêter en plein travail. Sa mère venait leur apporter du thé et quand elle voit la scène, elle croit que son fils s’adonne au bondage et prend la fuite, effrayée. Elle rejoint le père de Seishu, Seimei, lui disant que leur fils ne doit plus remettre les pieds sur l’île mais il rétorque qu’ils ne lui ont pas laissé vivre l’enfance qu’il aurait dû avoir, ils n’ont donc pas le droit de lui dicter encore sa vie.

Kawafuji a eu l’idée de passer un appel à l’épicerie de l’île où les enfants se sont réunis pour discuter avec Seishu. Les chaleureux encouragements et prière de revenir sur l’île le revigore. Puis il ressort la liste papier des donateurs du sanctuaire dont il se servira pour son œuvre.

Tama et Miwa ont remis leur calligraphie au concours organisé par le collège, mais seule Tama remporte l’or, Miwa gagne l’argent, ce qui lui ruine le moral.