Épisode 1 : Barakamon

Handa Seishu, a frappé un membre du jury Prix Eika de Calligraphie, qui avait qualifié ses calligraphies de scolaires, formatées et manquant de force. Son père l’envoie sur une île campagnarde pour l’y calmer. À défaut de bus, un habitant le prend en stop sur son petit tracteur et l’avance vers Nanandake.

Les déménageurs font parvenir les cartons de ses affaires. Le maire lui remet les clefs du logement qu’il loue. Il déchante vite, lui qui espérait un cadre calme. Il trouve l’entrée avec es paquets de chips, des latrines à fosses, une douche à gaz, des talismans dans des placards, des souris qui se baladent et planquée une fille du village qui y jouait à cache-cache, nommée Naru. Seishu la vire dehors et demande à ne pas être dérangé. Mais Naru entre par ailleurs, Seishu doit à nouveau la chasses mais elle revient tout le temps. Elle regarde les calligraphies qu’il commence à peindre, elle essaye elle-même puis le complimente sur les siennes. Elle lui dit qu’il écrit bien comme un professeur, ce qui le vexe terriblement.

Naru l’encourage et lui demande pardon, mais Seishu lui répond qu’elle n’a rien fait de mal et lui demande à son tour pardon de lui avoir crié dessus. Elle lui montre ses calligraphies qu’elle a faites en l’imitant. Quand elle dit à nouveau qu’il écrit comme un enseignant, il la fait tomber dans l’eau, énervé. Naru l’attire aussi dans l’eau à son tour et rit. Puis ils remontent par une rive. Avec elle, ils regardent le coucher de soleil sur la mer.

Ils rentrent et croisent le vieil homme au tracteur, qui est le grand-père de Naru. Puis les habitants viennent le saluer pour son arrivée au village. Ceux-ci, peu habitués à de nouveaux venus, souhaitaient l’accueillir. Naru lui présente Hina sa copine d’école ultra timide et craintive, le petit Kenta, fils du directeur de l’école lui joue une farce en lui plantant les doigts entre les fesses. Les habitants l’aident tous à déballer ses cartons et s’installer. Le soir, il se met à peindre frénétiquement et reçoit un appel de Kawafuji, directeur de la Maison des arts Kawafuji. Il lui dit qu’il commence à comprendre pourquoi son père l’a envoyé ici et lui demande de présenter ses excuses au galeriste qu’il avait frappé. Kawafuji répond qu’il devra le faire en personne. Le caractère qu’a peint Seishu est l’ « amusement ».