Épisode 3 : N° 3 : Révolution

Zen exige des explications à Ryuichiro et Yasutaka en privé. Ryuichiro lui parle du projet caché derrière Shiniki : transformer cette zone en lieu d’expérimentation de nouvelles lois, qui servira à toutes les Nations. Pour ce faire, il compte favoriser la candidature d’Itsuki Kaika, jeune politique qui remportera sûrement l’approbation publique haut la main. Yasutaka assure à Zen qu’ils n’ont rien à voir avec la mort de Fumio Atsuhiko, sans quoi il ne lui aurait pas permis d’enquêter. Zen ne peut se résoudre à poursuive ainsi son enquête avec ce qu’ils lui ont révélé, Ryuichiro l’avertit que s’il s’oppose à lui, il devra se battre.

Zen communique à Shinobu les nouvelles informations concernant Shiniki en vue de poursuivre leur enquête.

Lors de la réception pour fêter l’élection de Kaika, Zen a pu rencontrer Kaika, qui semble trop parfait pour ne rien cacher de louche.

Zen passe en revue les déplacements d’Atsuhiko et Shinobu lui montre les photo d’une femme, peu avant la mort d’Inaba.

Yasutaka informe ensuite Zen de la disparition de Kaika. Zen lui parle aussi des deux femmes sur lesquelles il va enquêter, qui ont été vues près de chez Inaba. Yasutaka lui apprend qu’il s’agit d’une seule et même femme, capable de changer d’apparence et de pervertir les hommes. Nommée Magase Ai, sans elle le projet Shiniki n’aurait pas été aussi rapide à élaborer.

Zen, Shinobu et Ariyoshi se retrouvent dans un café pour faire le point. Ils passent en revue son curriculum vitae sans rien trouver de suspect. Puis ils parlent d’Ai, Shinobu demande à Zen s’il n’aurait pas senti des envies de suicide. Son contact. Zen appelle soudain Okuda quand un flash spécial aux informations montre une soixantaine de personnes, postée au borde du toit de l’une des tours de Shiniki. Mitoni Ben téléphone à Zen pour lui parler d’une information trouvée sur l’ordinateur d’Inaba à propos du Nyux, un médicament en développement, qui aurait un effet somnifère surpuissant, au point de provoquer la mort.

Kaika fait ensuite une intervention publique, témoignant toute son admiration pour le projet Shiniki, qui doit apporter prospérité à l’humanité. Il parle de l’une des grandes peurs de l’humanité qu’ils seront sur le point de maîtriser : la mort. Il prône un usage raisonné de la vie, affirmant que promettre à tout le monde de vivre jusqu’à cent ans n’a pas de sens. Il compte accorder le droit de mort à la population. Les personnes en haut du gratte-ciel se jettent alors allègrement dans le vide. Zen assiste à la scène, impuissant, parmi la foule. Il va se focaliser à traquer Ai, l’élément liant de toute l’affaire.