Tome 2

Contient les chapitres 18 à 33

Aristia poursuit son entraînement à l’épée avec Alendis, avec qui elle est de plus en plus complice. Sa domestique Lina se chamaille beaucoup avec le chevalier Rigue à qui elle reproche de trop surmener Aristia.

Trois mois plus tard, Alendis offre des chocolats blancs à Aristia, ce qui incite les chevaliers à couvrir aussi de cadeau la jeune fille. Suite à cela, une nouvelle tradition s’instaure dans le royaume : offrir des chocolats aux gens qu’on aime.
 

Ruvelise repense aux moments passés avec Jemeria, la mère d’Aristia qui se montrait très bienveillante envers lui, son décès l’avait particulièrement affecté. Sur son lit de mort, elle lui avait même demandé de chérir Aristia. Dans le jardin royal, il croise de nouveau Aristia qu’il invite à boire le thé. Celle-lui lui renverse dessus sa tasse par mégarde, ce qui l’agace et le pousse à partir.

Aristia de retour à l’entraînement, Rigue lui glisse qu’elle devrait éviter de trop se rapprocher d’Alendis, étant donné qu’il est promis à une carrière de fonctionnaire, à l’état d’esprit souvent à l’opposé de celui des chevaliers, d’autant que le milieu politique demeure sans merci.

Elle rejoint plus tard Alendis à la bibliothèque et consulte un livre parlant du conte de la dame et du chevalier. Alendis observe que cette histoire émeut Aristia et lui propose de devenir son fidèle chevalier pour toujours, prêtant serment agenouillé.

Un an plus tard, Keiran offre à sa fille une épée pour son anniversaire. Celle-ci pense qu’il lui fournit juste du matériel sans savoir que c’était précisément pour son anniversaire, mais apprécie beaucoup. Arkint charrie Keiran concernant l’inconvenance d’un tel cadeau. L’année suivante, il offre une poupée à sa fille pour son anniversaire. Il lui demande de l’accompagner pour une affaire au palais mais il doit la laisser, demandé en urgence par le Kaisian de Rasse, assistant du deuxième escadron de chevaliers. Arisita se trimballe avec sa poupée qu’elle a oublié de laisser chez elle et elle se rend compte qu’il s’agit spécifiquement d’un cadeau d’anniversaire, tout comme la rapière l’an passé, chose dont elle ne s’était pas douté étant donné qu’il est de coutume de ne pas fêter l’anniversaire des enfants avant leur arrivée à l’âge adulte.

Elle tombe à nouveau sur Ruvelise, qui tente à nouveau de parler avec elle. Ruth passait alors et voyant Aristia, la complimente à nouveau pour son intelligence, Arisita remarque alors le sourire de façade du prince qui cache généralement sa colère.

Plus tard l’empereur convie Aristia à assister à une pièce d’opéra depuis le balcon avec lui Ruvelise. La fin de la pièce, symbolisant l’union royale, se solde sur un grave accident où le chandelier s’écroule sur les eux acteurs. Signe d’un très mauvais présage pour sa situation future.

Peu après à la maison, Keiran en présence de Arkint, annonce à sa fille son départ vers une autre région, où les habitants refusent de se soumettre aux mesure mises en place pour endiguer la famine à venir. Arkint devant rester à la capitale, une partie de son escadron avec son fils se joindra à Keiran. Keiran confie le soin à Arkint de s’occuper d’Aristia en son absence. Ruth les accompagnera aussi.

Les Verita organisent un dîner en leur demeure pour festoyer ensemble avant leur départ. Arisita y voit Alendis aussi invité. Ce dernier lui apprend qu’il partira avec son père.

Une fois Keiran et ses chevaliers partis, Aristia trouve la maison bien vide. Lina l’emmène se balader en ville pour lui changer les idées et déchante quand Aristia s’intéresse aux armes d’une armurerie. Elle y sympathise avec un jeune homme qui lui conseille en matière d’épée. Elle le reconnaît, Karseyn de Rasse, mais qui lui non et par avant qu’elle lui ait donné son nom.

Aristia est ensuite invitée à la résidence des Rasse et quand Karseyn découvre qui elle, il se montre aussitôt hostile. Sa mère lui rappelle que son père lui a demandé de s’occuper d’elle, ce à quoi il obéit à contrecœur. Voulant s’entraîner à l’épée, elle se soumet à l’évaluation de Karseyn, qui estime son niveau très mauvais et souligne son manque d’endurance et de force physique.

De retour chez elle, Aristia, malgré l’énervement causé par l’impolitesse du garçon, se met à s’entraîner durement pour se renforcer et demande à Lina et Alan une alimentation plus riche. Karseyn voyant qu’Aristia ne revient plus le voir après plusieurs jours, lui rend visite lui-même. Aristia refuse la présence de quelqu’un venu seulement la critiquer sans lui prodiguer d’enseignement. Soudain, elle fait un malaise, à cause de l’effort trop important par rapport à sa faible constitution. Karseyn la porte jusqu’à sa chambre où elle reprend connaissance. Il lui explique que trop s’entraîner à son âge nuirait à sa condition et à sa croissance et lui demande pourquoi elle tient tant à pratiquer l’escrime. Aristia lui déclare qu’elle compte devenir chevaleresse et assurer l’avenir de sa famille sans devenir impératrice.

Pendant ce temps, Haren informe Ruvelise de l’arrivée de négociateurs venus du pays de Lisa, aussi touchés par les mauvaise récoltes mais qui ont apporté avec eux une quantité anormalement élevée de marchandises.
 

Aristia termine en disant à Karseyn que son excellence à l’épée ne doit lui faire omettre ses autres défauts et elle l’incite à travailler dessus. Offusqué, il s’en va. Elle reçoit ensuite une lettre de convocation au palais. Bien qu’elle se sente encore faible, elle se rend à l’audience. L’empereur veut envoyer une partie de la garde royale pour assurer la protection du domaine des La Monique en l’absence de Keiran et il fait venir Ruvelise.