Après s’être à porter des montres de luxe dans une boutique, Akira et Kencho font leur bagage et se mettent en route pour Gunma. En route, Akira pense qu’il leur faudrait un camping car pour se déplacer et vivre avec tout le confort nécessaires. Les deux se rendent à une exposition du camping-car où ils tombent à nouveau sur Shizuka. Akira propose de nouveau de former une équipe mais elle refuse encore. Cependant, n’ayant pas passé le permis de conduire, elle change d’avis bon gré mal gré.
Les trois visitent le salon et cherchent le modèle idéal mais les zombis les rattrapent et ils n’ont d’autre choix que de monter dans le camping-car le plus proche et de fuir. Ils quittent Tōkyō, Shizuka pense qu’un virus est à l’origine de la contamination zombi et considère que l’élaboration d’un vaccin pourra sauver l’humanité.
En fin de journée, ils tombent dans un piège : une herse placée sur la route troue leurs pneus. Kencho, qui roulait à côté à moto, chute et se blesse. C’est alors que débarquent Kosugi et sa bande les Cosgies, qui avaient installé la herse, Kosugi prétend l’avoir fait pour se défendre d’éventuelle pillards. Il fait du chantage à Akira : deux jours de travail sous ses ordres contre des soins à Kencho et des pneus neufs. Akira, qui sent monter de nouveau en lui la peur de son ancien chef de service tyrannique, accepte.
Les trois découvrent le hameau de survivants commandé par Kosugi, où les gens travaillent sans relâche à la logistique et à consolider les barricades autour de leur zone. Akira s’épuise aussi à la tâche mais il prend l’initiative de placer dans un réfrigérateur quelques bouteilles de bière pour en faire profiter à tout le monde le soir. Kosugi la surprend et lui hurle dessus pour s’être écarté de ses ordres. Trois des gars de Kosugi passaient par là et découvrent avec joie les bières, Kosugi fait croire alors qu’il avait l’intention d’offrir sa tournée générale à tout le monde afin de récompenser les efforts fournis.
Akira voit ensuite par la fenêtre que Kosugi fait utiliser les zombis pour tracter des charges lourdes, les attachants à un camion et un homme les attirant pour les faire avancer. Kosugi lui dit qu’il ne vaut pas mieux que ces morts-vivants. La situation rappelle à Shizuka des souvenirs d’enfance, ayant un traumatisme aussi avec l’autorité.
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