Épisode 7 : Humain

Gotō Kenji, un humanoïde membre du Cercle du Cœur, un groupe pédagogique pour enfants, fit un jour une mauvaise chute où un violent choc à la tête le plongea dans le coma et à son éveil, il ne semblait plus être réellement conscient. Son fils Satoshi s’occupait de lui et son médecin, Sakura Nobuhiko conseilla un traitement par l’IA Michi. Kenji exécrait toutefois de se remettre à l’IA pour des problèmes qu’il estimait dépasser l’homme. Seul le chant de Rion, sa petite fille, lui permirent de progresser et recouvrer peu à peu des facultés cignitives.

Hikaru regarde le documentaire à son sujet avec un représentant de Humanoid Rights Japan, lequel remet en cause cette historie, dans leur organisation, on pense que son cybercerveau a seulement été réparé en discrétion. Il demande à Hikaru d’examiner son cerveau.

Hikaru reçoit Kenji accompagné de Satoshi dans son cabinet. Après scanner, il préconise auprès de Satsohi des implants qui devraient achever de corriger Kenji. Satoshi n’est pas encore sûr d’accepter, qui craint d’altérer le mémoire de son père. Hikaru ne garantit pas toutefois un succès total puisque certaines données ont été perdues définitivement lors de l’accident.

L’employé de HRJ, Kaki pense que la famille cache une raison pour ne pas vouloir le soigner, évoquant le fait qu’ils cherchent à pousser Rion à devenir chanteuse célèbre. Il estime que quelle que soit leur raison, priver Kenjide soins constitue une privation de droit.

Il contacte la famille pour leur en parler.

Les Gotō consentent à laisser Hikaru à opérer Kenji, Kakei et son équipe viennent pour filmer la procédure, précisant avoir l’accord de la famille. Cependant à l’éveil de Kenji, celui-ci s’énerve à l’idée que son fils l’ait exposé médiatiquement durant sa maladie. Hikaru lui administre un sédatif pour le calmer. Kakei demande s’il y a eu une erreur dans l’opération mais Satoshi confirme la réussite, Kenji a toujours été un père violent. Le voici redevenu comme avant. Kakei ne fait pas filmer la scène et en ressort affecté.

Un employé de bureau, stressé par son métier à la hot-line de son entreprise, vient en consultation chez Hikaru pour savoir s’il serait possible de désactiver le stress de cerveau qui lui cause des provoqués, mais Hikaru lui fait comprendre que le stress est un signe corporel important de santé. Il subit des discriminations de la part de clients qui ne considèrent pas les humanoïdes comme de vraies personnes.

Mais exténué, il ne se rend plus au travail, estimant que seul un robot sans émotion peut encaisser un tel métier. Il décide de remettre sa démission à son supérieur, mais celui-ci lui propose de ne plus lui donner de cas avec des clients malveillants à traiter pour le faire revenir sur sa décision. Il accepte.

Avec trois collègues, il se rend chez une client mécontent du décalage entre la simulation en réalité virtuel 3D de sa maison et la maison concrète construite pour présenter des excuses en personne. Il reste dans la voiture et regarde par télédiffusion l’intervention de ses deux collègues. Le client se plaint de la mauvaise couleur du papier peint mais les deux collègues, après vérification, rétorque que la teinte de ce papier peint varie beaucoup selon les éclairage et que leur prestation n’est pas à remettre en cause. L’un des deux autres employés frappe son collègue qui ose tenir tête et présente des excuses au client. L’employé humanoïde n’en revient pas d’une telle mise en scène, qui a réussi à faire plier le client et se met à douter que les deux qui ont fait cette mise en scène soient réellement.

Il retourne voir Hikaru, qui lui laisse le choix de soigner ses maux de ventre ou de démissionner. Il ne sait quoi choisir.