(titre original : チ。―地球の運動について― (Chi: Chikyū no Undō ni Tsuite))
Épisode 23 : Camarades
Novak pense que Douraka a soudoyé Antoni avec de l’argent et l’accuse d’avoir toujours été intéressé par ça plus qu’autre chose. Antoni ne dément pas et ajoute que les temps changent, appuyé par Douraka qui affirme qu’elle est persuadée que l’ère de l’argent arrive, ainsi que celle des humains pouvant penser librement. Novak conclut que leur niveau de corruption au point même de se détourner de Dieu a atteint un tel point qu’il faut prendre des mesures drastiques : il a imbibé d’alcool l’entrée et le tour de l’église en vue d’y mettre feu en cas de besoin. Il tue Antoni, Douraka tente de prendre la fuite, mais il déclenche l’incendie et la poignarde au flanc. Elle lui vole son couteau des mains toutefois, le plante dans la poitrine et prend la fuite.
Novak, se sachant condamné, reste prostré dans l’église prenant feu. Il a alors une vision de Rafal avec qui il discute. Il lui avoue un sentiment qu’il avait toujours refoulé : il avait toujours éprouvé de la peine de voir un enfant comme lui ayant encore toute la vie devant lui se sacrifier pour sa cause. De plus, suite à ses conversations, il en vient à se demander s’il n’était pas le méchant de l’histoire à lutter contre l’héliocentrisme. Il demande à Rafal si sa fille est au paradis, Rafal lui répond qu’il ne tient qu’à lui de faire le nécessaire pour que ce soit le cas. Puis l’illusion de Rafal disparaît. Novak sort une main sectionnée de Jolenta par l’explosion (cf épisode 21) et lui enfile le gant qu’il lui restait de sa fille. Il prie alors dieu que si l’héliocentrisme n’est pas un blasphème, de bien vouloir accueillir Jolenta au paradis et il ajoute que les péchés de sa fille sont en fait les siens. Puis il s’écroule.
Douraka à l’écart du village dans une plaine, n’arrive plus à avancer. Elle envoie le pigeon voyageur qu’Antoni lui avait fourni pour envoyer la lettre. Puis elle se met à penser son existence vaine puis l’aube arrive et elle assiste eu lever de soleil, qu’elle accepte avec joie, se rappelant elle enfant. Puis elle chute inanimée.
1468, dans une ville do Royaume de Pologne, Albert travaille chez un boulanger. Ce dernier lui propose de l’envoyer faire des études, voyant son potentiel, ce qui lui permettrait notamment de connaître les fluctuations du prix du marché du blé afin d’optimiser sa fabrication de pain. Albert refuse cependant, expliquant qu’il voit les études comme néfastes et qu’il aspire seulement à gagner sa vie. Le boulanger li demande pardon alors de lui avoir ravivé des souvenirs qu’Albert veut garder refoulés.
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